L'achat d'une maison fait sans aucun doute partie de la liste des petits grands objectifs d'une vie : acheter une propriété ne signifie pas seulement investir une somme importante dans un bien qui a tendance à être solide, mais c'est décider de "planter quelques pieux", de commencer à organiser bien à l'avance ce qui sera, espérons-le, un long chapitre de votre vie.
En bref, l'achat d'une maison est un geste vraiment important et il serait donc plus qu'approprié de le faire de la manière la plus précise possible. Aussi parce qu'il ne suffit pas toujours de trouver la maison de ses rêves pour effectuer une transaction tranquille et efficace. L'insouciance est toujours au rendez-vous et le risque de se retrouver, une fois les choses faites, non totalement satisfait existe vraiment.
C'est pourquoi vous allez voir aujourd'hui en détail de la manière de négocier l'achat d'une maison, en soulignant 3 erreurs à ne pas commettre pour être plus que satisfait de votre décision, même après des années.
Comment calculer correctement le prix
La première grande erreur commise chaque jour par des milliers de personnes intéressées par l'achat d'une maison est aussi banale que dangereuse : le calcul erroné du prix. Cela peut nous amener à regretter amèrement chaque choix que nous faisons.
Par exemple, beaucoup de gens oublient qu'il est toujours approprié d'ajouter environ 10 dépenses supplémentaires au prix de la propriété, car en plus de la TVA ou de la taxe d'enregistrement (la première dans le cas d'une nouvelle propriété, la seconde dans le cas d'une propriété d'occasion), il y a aussi les taxes cadastrales et les éventuels dépôts. Ce dernier sera récupéré, mais il s'agit toujours d'une dépense tout sauf insignifiante qui pourrait, dans un premier temps, bouleverser vos plans de dépenses.
Il est conseillé de réaliser une petite étude de marché à un stade préliminaire afin de déterminer un prix de référence moyen. Aujourd'hui, d'ailleurs, il est très facile de faire ce travail grâce à l'internet. Il suffit de rechercher sur les principaux portails immobiliers, tels que Tecnocasa, les maisons à vendre dans la zone choisie et d'établir un prix indicatif moyen.
Comment tenir correctement une comptabilité analytique
Le deuxième problème, similaire mais non identique, est abordé dans ce bref guide qui est le nôtre. Outre le prix d'achat, il faut en effet veiller à bien considérer les coûts liés à l'hypothèque et, plus généralement, les dépenses qui caractériseront le bien acheté.
Par exemple, la taxe hypothécaire est généralement d'environ 2 % du montant de votre hypothèque, à laquelle il faut ajouter une assurance sur le même, exigée par la plupart des banques. D'autre part, en ce qui concerne les dépenses, beaucoup de gens oublient des dépenses apparemment insignifiantes comme les dépenses de copropriété : des dépenses mensuelles qui peuvent augmenter considérablement les coûts envisagés au départ.
Bien penser à l'avenir
Si les points analysés jusqu'à présent caractérisent en quelque sorte le passé et le présent de l'achat d'une maison, ce dernier est au contraire lié au futur. En fait, de nombreuses personnes achètent une maison avec la conviction que celle-ci ne fera qu'augmenter sa valeur au fil des ans.
Cela semble superflu, mais il est toujours utile de se rappeler que même les biens immobiliers peuvent subir de fortes dévaluations de leur valeur et que, non par hasard, il y a des périodes où il est plus commode d'acheter, ainsi que des périodes où il est plus commode de vendre.